Chifumi représente ici une bataille épique entre plusieurs divinités dans un temple perdu dans la jungle. « Il s’agit ici d’une danse improvisée par des autochtones à la peau couleur d’ébène. Furtivement il peint quelques détails d’une ambiance de rues moites : la nuit, les néons clignotants, l’odeur du safran, de jasmin et les bruits de tuktuk. Chifumi nous ouvre ses carnets de voyages et ses dernières aventures en Asie, sa terre d’adoption.

Bio de Chifumi  :

Artiste français vivant et travaillant à Phnom Penh depuis 2012. Il est l’un des premiers artistes représentatifs de la scène street art au Cambodge. Chifumi, régulièrement invité à peindre sur les murs pour des festivals internationaux (France, Inde, Danemark…), a trouvé au Cambodge un terrain de jeu privilégié, s’inspirant des arts et de la culture khmers. Son travail ? Des peintures murales géantes et iconiques représentant les langages des mains. Il s’inspire d’objets anciens, de temples perdus de l’époque antique, de cultures traditionnelles du monde entier.